À Die, on ne naît plus

À Die, on ne naît plus

Cet article est issu du numé­ro 2 de Pays, consa­cré au Vercors. À Die, on ne naît plus La mater­ni­té de Die a fer­mé. C’est, semble-t-il, irré­mé­diable, mal­gré les com­bats des habitant·es et des soignant·es. Aujourd’hui, la ville et ses envi­rons s’en...